POESIES DES FEES
posté le mardi 15 juillet 2008 à 16:51

Petit Papillon

 

L’univers des Fées

Petit papillon virevoltant
Parmi les rafales de vents
Tu déploies tes jolies ailes
Aux couleurs de l'arc-en-ciel
Au plus grand plaisir de nos yeux
Qui t'admirent l'air heureux
Tu crées autour de toi
Merveilles et rêves fastidieux
Dommage que tes jours soient comptés
Petit être aux allures de fées
Petit papillon

L’univers des Fées

 

 


Commentaires

 

2257  le 09-01-2014 à 16:57:12  #   (Retour dans ton *Univers*)

Belle poésie!
A bientôt
Bernard

kairi66  le 15-07-2008 à 17:32:10  #

smiley_id119149 merci pour le com bon fin de journée a toi aussi bisous

 
 
posté le mardi 15 juillet 2008 à 16:47

Les Fées

 

L’univers des Fées

Pourquoi répéter tous les jours le même Rituel?
Cela sera t-il Eternel?
Le soleil s'endort, la lune s'élève
Certains dorment, d'autres pleurent
Moment où l'on ne controle plus son Esprit
On aperçoit alors des Démons, des Visions
Rien, non on ne peut rien faire pour que cela cesse
Mais, l'Exception est là...
Si vous y croyez vous étes sauvés
Elles arrivent pour vous soulager
Et séchez vos pleurs, ce sont les Fées
Qui iluminent le ciel qui paraît toujours si noir
Et vous apportent un peu d'éspoir...

maogirl(amandine.H)

L’univers des Fées


 


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posté le mardi 15 juillet 2008 à 16:24

Fairy

 

glob Fée

Je vis dans cet univers,
Si froid et chaleureux en même temps.
Où les fées vivent en harmonie.
Les arbres sont verts, d'une clarté aveuglante,
Le ciel est bleu azur, il reflète l'océan.
Mes yeux n'ont jamais connu
Une telle étincelle.
Je me sens libre, heureuse,
Mes chaines se sont enfin brisées
Je regarde la couleur de l'herbe
Et j'aperçois au travers des gens malheureux
Habillés de noir, je réalise que j'ai quitté cette terre
J'aimerais leur dire "pleurez pas pour moi
Ne vous inquiétez pas
D'ici quelques années, vous m'aurez oublié.
Profiter de votre vie, on se reverra le moment venu."

Petite Fée

 


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posté le mardi 15 juillet 2008 à 16:17

J' ai été celle

                                                     

Fée lumierre

J'ai été celle

J'ai été celle qui souriait aux anges
J'ai été celle que la passion a enflammée
J'ai été celle que la magie a enivré
J'ai été celle dont les étoiles ont fait rêver

J'ai dansé avec la lune
J'ai valsé avec les étoiles
J'ai souri au lever du soleil
J'ai brillé avec la lune
J'ai scintillé avec les étoiles
J'ai grimpé dans les nuages, riant aux éclats
J'ai tournoyé avec la nuit le vent riant à mes oreilles
J'ai été celle qui a rêvé avec les rêves
J'ai souri à l'espoir, la rendant libre

Je me suis assise dans l'herbe, sous le bouleau

regardant milles points d'argent..que j'ai nommés fées

J'ai été celle qui comme le verre s'est brisé
Les morceaux craqués encore aujourd'hui

et au clair de lune
ma place est encore là
attendant mon retour
et les étoiles brillent plus fort
m'appellent avec elles....

Fée petite

 


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audeladecettevie  le 15-07-2008 à 20:08:43  #   (Retour dans ton *Univers*)

c'est toi qui écris? c'est très beau!

 
 
posté le mardi 15 juillet 2008 à 16:01

Poésie des Fées

Une fée dans un coin de

 ma tête
Murmure à mon oreille
Qu'une fée qui ne veux pas faire la fête
Est morte l'avant veille.

Les fées pourtant sont éternelles
Elles volent pour toujours dans le ciel.
Les fées ne sont pas imagination débordante
De mon enfance.
Les fées sont réelles, même pas absentes
De notre enfance.

Les fées sont des rêves irréalisés
En attente d'être sauvés.

Les fées ne meurent pas
Elle sont toujours là :
Dans l'amour et le bonheur,
Cachées parfois tout au fond du coeur.

bares fleurs

 


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petite elfe  le 10-10-2008 à 10:20:23  #

jetrouve c poeme tout simplement magnifique!!!il m'a fais voyagé le temp que je le lise,moi qui est folle des elfes fée je me suis régalé bonne continuation bisous

 
 
posté le lundi 14 juillet 2008 à 23:55

L'univers des Fées

 

elle est fille d'un songe son berceau est la lune
chaque nuit porté par le vent elle visite les dunes
son nom est LYSIA, guerrière elle chevauche les étoiles
qui se révoltent envers la nuit ; insomniaque et pâle

LYSIA transperce les époques, devineresse des ombres
elle sait les terribles mystères qui anéantissent la sphère
un crépuscule à l'haleine glaciaire figea les fragiles paupières
la nuit; veilla, sévère, l'agonie du monde

quarante milliards d'années s'écoulèrent
LYSIA vit la terre renaître, des êtres supérieurs
délaissèrent leur planète afin de faire germer la vie
la fée de la lune fut sollicitée par un combat sans merci

qui opposa les étoiles, elle protégea les faibles
lança le tonnerre contre les plus violentes
les étoiles furent mises en quarantaine
leur nom oublié à jamais ,rayé du cadastre solaire

raymonde verney

 

Le jardin Silencieux
 
Connais-tu ce Jardin Silencieux...
Celui où l'herbe est faites d'émeraude et les fleurs de rubis?
Celui où le ciel d'azure brille d'un soleil d'or?
Celui dont les rivières scintillent de saphir
Et où l'amour, comme le grenat, reste le plus dur des mystères?  
Le connais-tu ce Jardin
Où nul homme n'a jamais pénétré,
Là où les larmes des femmes
Ne sont que des gouttelettes de sang,
Cascadant doucement sur leurs joues...
Tu te dis un Ange venu sur Terre pour aidé l'Humanité,
Alors dis-moi, maintenant, le connais-tu ce jardin Silencieux?!!

          


 


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posté le lundi 14 juillet 2008 à 23:44

 A marcher sur cette terre


La tête en procession
Et le cœur en misère
Je suis allé au cimetière
Où l’on enterre les fées
Les berceaux des illusions
Des fois qu’elle serait passée

Je sais bien qu’elle t’aime
Même si elle n’est pas venue
Ni même fait déposer
Un bouquet de chrysanthèmes
Sur la pierre inventée
Dont on ne se souvient plus

Faut pas lui en vouloir
Ni même la juger
Quand on rime au hasard
Il faut bien jeter les dés
Les recouvrir de fard
Fermer les paupières
Surtout bien l’enterrer

Si ça n’aide pas la misère
Faut bien l’abandonner
L’on n’est pas père
Comme l’on naît mère
Et surtout en été
Sur l’autel d’un serment
Qu’on n’a jamais prêté

Ca sert à quoi de pleurer
Une idée, un enfant
Si ce n’est de prouver
Qu’on arrache bien les ailes des fées

 


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posté le jeudi 10 juillet 2008 à 22:04

Le monde invisible (Charlr Baudelaire)

Petite Fée de chezmélodie

Le Monde de l'Invisible  (Charles Baudelaire)




 

Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse ?
La honte, les remords, les sanglots, les ennuis ?
Et les vagues terreurs de ces affreuses nuits
Qui compriment le coeur comme un papier qu'on froisse ?
Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse ?
 
Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine ?
Et les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel,
Quand la vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine ?
Ange plein de bonté, connaissez-vous la haine ?
 
Ange plein de santé, connaissez-vous les fièvres ?
Qui, le long des grands murs de l'hospice blafard,
Comme des exilés, s'en vont d'un pied traînard,
Cherchant le soleil rare et remuant les lèvres ?
Ange plein de santé, connaissez-vous les fièvres ?
 
Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ?
Et la peur de vieillir et ce hideux tourment
De lire la secrète horreur du dévouement
Dans des yeux où longtemps burent nos yeux avides ?
Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ?
 
Ange plein de bonheur, de joie et de lumières,
David mourant aurait demandé la santé
Aux émanation de ton corps enchanté ;
Mais de toi je n'implore, ange que tes prières,
Ange plein de bonheur, de joie et de lumières !

 

 

 

 

(Les Fleurs du mal)

 


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mylene51  le 27-01-2009 à 20:42:34  #   (Retour dans ton *Univers*)

J'espere que tu as profité de ta journée.Bonne soirée.Gros bisous
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