| J'uste une larme Je suis allé là bas où le soleil s’épanche comme se pose un guerrier pour soulager ses peines, sur cette immensité où danse l’écume blanche, sous le souffle du vent et le chant des sirènes.
Alors bien à genoux faisant face à la mer, de mon âme je l’implore de reprendre mon corps, là où mes yeux fermés cachent sous mes paupières, une larme d’où gisent à jamais mes remords.
Les points serrés de rage et tendus vers le ciel je laisse retomber tout doucement la grève et tel un sablier d’où s’échappe le fiel, ma douleur s’écoule dans ces instants de trêve.
Le temps qui d’habitude lui vient me trépasser en faisant des secondes d’interminables heures et des jours lancinants qui deviennent des années, n’est ici que de « l’arme » qui transperce mon cœur.
Alors bien à genoux faisant face à la mer, je l’implore de prendre si elle le veut ma vie, pour que coule de mes yeux qui cachent sous mes paupières, juste une larme d’amour de mon âme meurtrie …
"écrit Fictif" Amitiés Princedesroses M.R© | |
Commentaires
hello tite cyndelle !!
merci de ta visite.. c'est toujours un plaisir de te lire..
comment vas tu ? bien, j'espère..
belle journée de vendredi et excellente fin de semaine..
kissouilles.. jean claude..