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Titre du blog : L'univers des Fées
Auteur : cyndelle:Cyndelle
Date de création : 10-07-2008
 
posté le 25-07-2008 à 17:57:45

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 Les différents archétypes du féminin

Capacité juridique limitée pour les femmes mariées

Sur le plan juridique, la femme mariée jouissait seulement de droits similaires à ceux de l'enfant mineur. La loi considérait le couple comme étant une seule et même personne morale. L'époux était responsable de sa femme et avait l'obligation légale de la protéger. En contrepartie, la loi attendait de la femme qu'elle prête obéissance à son mari. Les biens apportés par une femme lors de son mariage devenaient la propriété de l'époux, même en cas de divorce. Le revenu de la femme revenait de facto dans sa totalité à son époux, de même que la garde des enfants était automatiquement confiée au père, en cas de séparation du couple. En pareil cas, le père avait le droit de refuser d'autoriser tout contact entre la mère et ses enfants. L'épouse n'était pas habilitée à conclure elle-même quelque contrat que ce fût : pour ce faire, elle devait obtenir l'accord de son mari. En revanche, la femme mariée ne pouvait pas être condamnée pour certaines infractions tels que le vol ou le cambriolage, si elle agissait sur ordre de son mari. De même, il était impossible de poursuivre une épouse pour dissimulation ou vol commis au détriment de son mari, puisque le couple était juridiquement considéré comme une entité indivisible. Même si les droits de la femme mariée étaient très limités, les dires selon lesquels la femme était la « propriété » de son époux constituent une exagération grossière : le meurtre d'une femme par son mari était passible de la peine de mort, au même titre que tout assassinat, alors que la loi ne sanctionnait pas un propriétaire détruisant lui-même ses biens propres. Aux yeux de la loi, les crimes et délits perpétrés sur des personnes — femmes ou hommes — étaient réprimés beaucoup plus sévèrement que les exactions commises sur les biens matériels. Par ailleurs, en cas de danger, les femmes devaient être sauvées avant les hommes, ce qui est également en contradiction avec leur supposé statut de « propriété ».

                            

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