posté le 09-10-2008 à 01:22:08
l'univers des Fées Chez Cyndelle
De l' autre côté du monde,
Où germent des passions fécondes,
Je remplie l' obole,
D' un flot de douces paroles.
et par les
soirs de pleine lune,
Mes mains tournées vers le firmament,
Habilement, je trace des Runes ;
Envoûtement des éléments.
Magie de la tendresse ;
Actions saintes ;
Sortilèges des caresses ;
Rallume la flamme éteinte.
Sous la plume, les mots murmurent,
Une prière que délivre le parchemin.
Le monde que façonne mon écriture,
Imagine un autre destin.
De Paix et de sérénité, je m'abreuve,
Lorsque je visite mon domaine.
L' abri est calme, l' abri est zen,
Aucun conflit aucune peine.
L' horizon couchant en est la preuve.
Au temple des prières où je me rends,
J' implore les Dieux de ce lieu mythique.
Auprès d' eux je fais Serment,
Promesse légendaire ou prophétique...
De ranimer la Terre des justes,
de la Protéger pour un règne de Paix.
Et vous ! Chefs de Contrées !
Soyez prêts à prendre la route.
Un à un défendons nos idées,
Qu' aucune armée ne mettra en déroute.
Tournant dans les champs d’étoiles, pour de suaves retrouvailles,
Bercés par le doux bruit d'une armure de dentelle et de connivence.
Dans l’affolement, des mains prisonnières
Se retrouvent coincées, dans les mailles d'une guêpière,
Alors les cœurs amoureux s’offrent, se nouent et s’embrasent,
S’abandonnant entièrement aux multiples lèvres qui s’embrassent.
quelques mots vides de substance, cauchemars, frustrations vouloir tant te dire interdit d'exprimer Chaque soir, le ciel étreint la terre voluptueusement chamarrant sur l'eau ses volutes blanchâtres. Tandis que collines et arbres folâtrent en surface un calme étrange envahit l'espace; le temps s'arrête un bref instant...
Pier de Lune |
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Au fil des jours je me dilue
cette flaque d eau
sous vos pieds
finira par sécher
pour n'y laisser qu'une trace
et s'estomper avec le temps
Marche sur la longue route de l'espoir
Ne te retourne pas sur le passé parfois noir
Sur ce chemin rocailleux et parfois douloureux
Cueille les petits bonheurs qui rendent heureux.
Qu'il faisait froid, mon Dieu Quand nous marchions Sous les grands arbres nus Ployant sous le vent Le vent si fort Qu'il perçait nos vêtements Pinçait nos oreilles, gerçait nos lèvres Rendait la parole difficile La nature même était hostile Dans les allées de l'asile Nous parlions à bâtons rompus Remuant les feuilles mortes Nous parlions comme deux êtres perdus De tout, de rien De ta misère surtout De ton acharnement à vouloir te détruire Par tous les moyens A l'aube de tes dix-sept ans |
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