Auteur : cyndelle:Cyndelle
Date de création : 10-07-2008
๑۩۞۩๑ Lunivers des Fées ๑۩۞۩๑ Monde d'Avaryan๑۩۞۩๑ http://mondedavaryan.speeces.live.com/
Reste immobile et ouvre ton esprit...
Apaise ton coeur qui n' attend que toi,
Éloigne toi des pensées frénétiques et agitées,
des visions et des bruits de ce monde insensé.
ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑
et des rêves de prairies émaillées de fleurs
dans l' herbe drue,
de calmes océans semés d' or et d' argent,
de conversations chaleureuses entre amis,
de chemins menant vers de fêtes,
ange ou démon
Paradis perdus
Des jours d’enfance
Sans soucis du lendemain
Sans calculs de fin de mois.
Paradis perdus
D’un courrier attendu
Et qui ne vient pas.
Rêves inutiles
Pour retrouver les paradis
Perdus de l’enfance,
Elle nous a quitté.
Il ne reste qu’à hanter le monde
Il ne reste qu’à chercher
Un coin de douceur.
S’y laisser aller
À sucer le pouce
Redevenir un instant
… un enfant.
ange ou démon
Paradis perdus
Des jours d’enfance
Sans soucis du lendemain
Sans calculs de fin de mois.
Paradis perdus
D’un courrier attendu
Et qui ne vient pas.
Rêves inutiles
Pour retrouver les paradis
Perdus de l’enfance,
Elle nous a quitté.
Il ne reste qu’à hanter le monde
Il ne reste qu’à chercher
Un coin de douceur.
S’y laisser aller
À sucer le pouce
Redevenir un instant
… un enfant.
On cherche...
Les reves ne sont pas inutlies
On vit grâce à eux
On cherche sa raison d'etre
sa raison de naitre
On cherche toujours quelque chose
Mais on oublie ce qu' on a
L enfance s'en va
et nous on reste là
A mourir
à pourir
comme les autres
On cherche le pardis perdu
dans nos coeur
Comme dans nos reves
Les reves ne sont pas inutiles
Car c'est d' eux que l' on ecrit
Les plus belles choses
de notre coeur....
ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑
ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑ ﺴ۩๑ ๑۩۞۩๑
L'amour m'a pris,
Au moment où
Je ne m'y attendais pas.
Si seulement...
Il fuit, me laissant
Impuissante sur le pavé.
Alors mon corps, fatigué
Allongé au milieu des passants
Seul, se vide et délicatement
Comme un trésor fragile
On déballe mon âme
Laissant une coque vide
Si seulement...
L'amour c'est...
...vous faire poète pour elle.
...une drôle d'impression quand vos yeux
se rencontrent.
...espérer qu'il sera toujours à vous.
...avoir l'estomac qui se noue quand vous
pensez à lui.
...cacher des mots d'amour dans ses
Et bien plus encore ...
Reste immobile et ouvre ton esprit...
Apaise ton coeur qui n' attend que toi,
Éloigne toi des pensées frénétiques et agitées,
des visions et des bruits de ce monde insensé.
Comme dans l'eau le visage répond au visage, ainsi le coeur de l'homme
Je me perds sans fin dans mes rêves comme dans
Mes pensées qui ne sont que mots que je frappe...
Mon labyrinthe court se jeter l' imprudent !
Du haut de ma fenêtre, mon âme s'échappe.
Quand je fermais les yeux et t'imaginais,
Des paysages se projetaient dans mon esprit.
Je te dessinais, te sculptais, je te devinais.
Tu prenais vis dans ma Réalité,
Tu me permettais d'espérer.
Elle annonce d’un sourire fougueux, le prélude à jouer,
En imaginant déjà, l’endroit de la future couche.
Je suis une ombre parmi l'aurore, Venue t'apporter quiétude et poésie, L'hommage humble d'une Ame en peine, Qui voit défiler passé, présent, futur mort. Ton souvenir bercera jusqu'à la fin ma rîve, Eclairant mon chemin dans les moments de dérives.
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Le corps, rentre lentement dans la magie de la danse.
Licorne au corps si doux de femme,
Tu es le rythme de mon âme.
Dans l'azur du ciel que le jour blesse,
De ton corps racée naît la tendresse. 
Laissons le vent courir !
Laissons la nuit nous éblouir !
Le verbe amour nourrit ton âme,
J'aime le feu que tu réclames.
Licorne folle de mes yeux,
Tout contre toi, je souffle des aveux.
Mon dragon apocalyptique m'emporte à une vitesse vertigineuse ; il fend l'extrême bord de l'univers, survole les abîmes les plus reculés en laissant derrière lui les étoiles et les royaumes de la matière.
Il fonce comme un météore à travers l'absence totale de forme vers des mondes inconcevables, de ténèbres, de batailles ou de lumières.
Sur son dos, je peux affronter les profondeurs de la nuit qui béaient en dessous de moi.
Je ne suis pas une rêveuse condamnée, éperdue qui se laisse emporter dans des songes infinis de ténèbres vivantes.
Avec mon Dragon j'ai de l'ambition des grands rêves.
Si je rencontre trop d'obscurité, j'inverse la marche lente de l'éternité, la course ultime de mon dragon pour parvenir sur un nouveau chemin.
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Par delà l'escalier des raides Cordillères,
Par delà les brouillards hantés des aigles noirs,
Plus haut que les sommets creusés en entonnoirs
Où bout le flux sanglant des laves familières,
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L'envergure pendante et rouge par endroits,
Le vaste Oiseau, tout plein d'une morne indolence,
Regarde l'Amérique et l'espace en silence,
Et le sombre soleil qui meurt dans ses yeux froids.
Du continent muet, elle s'est emparée :
Des sables aux coteaux, des gorges aux versants,
De cime en cime, elle enfle en tourbillons croissants,
Le lourd débordement de sa haute marée.
Dans l’ombre et le secret d’un manoir à sept tours,
Aux sons d’une sirvente et d’une mandoline
Que j’aimerais, à l’heure où le soleil décline,
Endormir une reine aux grands yeux de velours !
Le soir, dans la tour ronde aux gothiques ogives,
Qui donne sur les bois, et le lit nuptial
Dans l’ombre et le secret du bourg seigneurial.
Le guivre de granit est là, montant sa garde
Éternelle et farouche aux créneaux du manoir.
je souhaite un doux sommeil,
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